Une herbe pas si « mauvaise »

Sur le terre-plein central rue du Marais et rue des Trois Maires, ont été
plantées des jachères fleuries pour remplacer le bitume.

Biodiversité

L’intérêt est multiple : apporter un point supplémentaire de verdure et de fraîcheur, favoriser la biodiversité et réduire le temps d’entretien dû au désherbage.
Aujourd’hui, le cycle naturel de germination fait sortir de terre quelques essences de fleurs et les insectes y trouvent leur compte !

Patience… d’autres plantes naîtront encore d’ici les années à venir !


Vous l’avez peut-être observé, depuis quelques temps, la ville applique la tonte différenciée pour certains espaces verts, à l’exemple de l’étang Vogelau. Les prairies autour du petit parc animalier sont fauchées 2 fois par an environ et en alternance.
Cette gestion respectueuse de l’environnement permet d’une part, d’accroître la fertilité du sol et d’augmenter ainsi la biodiversité et d’autre part, cette gestion raisonnée des espaces verts permet de réduire le temps d’entretien.


Si l’herbe n’est plus considérée comme « mauvaise », cela ne veut pas non plus dire qu’on ne doit pas contrôler sa prolifération.
Chaque habitant est acteur de l’image de la ville et peut apporter
son concours principalement devant son habitation :

  • désherber et nettoyer son trottoir ;
  • arracher les mauvaises herbes et enlever les feuilles issues de sa propriété, les déposer en déchèterie ou dans un
    composteur ;
  • entretenir ses haies afin d’éviter tout débordement de végétation qui pourrait gêner le passage des piétons.